
“Après la requalification des semences et plants en produits de première nécessité, cette nouvelle étape conforte les capacités des entreprises à reprendre, métier par métier, le chemin de l’activité dans un souci de responsabilité civique face à l’épidémie contre laquelle nous luttons tous” souligne Mikaël Mercier, président de Val’hor, qui demande aux points de vente de privilégier l’approvisionnement en plantes et fleurs françaises.
Cette déclaration fait suite à la décision ministérielle du 1er avril 2020 qui donne la possibilité aux jardineries disposant d’un rayon animalerie d’ouvrir l’ensemble de leurs rayons à leurs clients. Cette décision, rendue par la Cellule Interministérielle de Crise placée auprès du Ministre de l’Intérieur, précise officiellement que : « l’ouverture des jardineries qui vendent de la nourriture pour animaux peuvent proposer à la vente l’ensemble des produits du magasin… sans pour autant que le décret du 23 mars 2020 doive être modifié ».
Face à cela, VAL’Hor, avec l’appui de toutes les fédérations continue d’œuvrer pour sauver l’ensemble de la filière horticole, notamment pour lever les obstacles à la vente pour les producteurs détaillants, faciliter l’activité des entreprises du paysage, à travers le plan de continuité d’activités « Chantier Paysage » ainsi que pour les paysagistes concepteurs mais aussi de préparer les solutions pour la reprise de l’activité, dès que possible, pour les grossistes et les fleuristes.